Madagascar

Données générales.

Nomme : République Démocratique de Madagascar
Surface : 587.040 km2
Population : 16.437.000
Capital: Antananarivo
Langues : malgache et français

Histoire et politique.

Les premières populations de l'île venaient des immigrations indonésiennes fréquentes entre les siècles III et IV. Dans le siècle IX, Madagascar a été l'importante puissance de l'Océan Indien, en échangeant ses produits avec les peuples de la côte africaine et les arabes. Ces derniers ont été établis dans leurs côtes dans le siècle XII. Pendant des siècles, des français, portugais et néerlandais ont échoués dans leur tentative d'établir des colonies sur l'île, jusqu'au XVII siècle, que Madagascar devient une colonie française.

Bien que sans abandonner la Communauté française, Madagascar ait obtenu son autonomie en 1958, en approuvant de manière immédiate en referendum la création de la République. En mai 1959 a été choisi président Philibert Tsiranana, chef du parti démocrate (PSD), dont la main le pays a obtenu son indépendance le 26 juin 1960. Philibert Tsirana a été maintenu dans le gouvernement jusqu'à 1972, date à laquelle l'opposition d'importants secteurs de la population à sa politique de soumission à la France a forcé à démissionner, en livrant la direction provisoire du gouvernement à son homme de confiance, le Général Ramanantsoa, celui qui s'est engagé à entamer une politique plus nationaliste. Trois années ensuite, Ramanantsoa a renoncé à son poste et le Commandant Didier Ratsiraka a été nommé chef d'état.

Didier Ratsiraka a promu la réalisation d'élections en 1977, lesquelles prendrait part seulement le seul parti légal, Avant-garde de la Révolution malgache (AREMA). Six années plus tard, dans les élections législatives suivantes, on a permis la participation à un nouveau parti, le Mouvement National pour l'Indépendance de Madagascar (MONIMA), mais Ratsiraka a été réélu. Vers le milieu de 1991, le mécontentement de la population contre le gouvernement, à auquel il responsabilise de la situation économique désastreuse depuis son acceptation des propositions du FMI et de représenter seulement les intérêts de l'oligarchie mérinos, explose dans nombreux des mutineries populaires qui sont durement réprimé par l'armée, avec des centaines de morts entre les manifestants. Cette répression divise à l'armée elle-même et une partie de celui-ci, soutenue par les français, exige la résignation de Ratsiraka, celui qui est obligée de pactiser en octobre 1991 la formation d'un Gouvernement de Transition, qui assume le compromis de préparer la conclusion d'élections libres en novembre 1992. Les électeurs mettent un terme les 18 années de gouvernement de Didier Ratsiraka, en étant choisi nouveau Président le professeur de médecine Albert Zafy, représentant de la plate-forme de l'opposition Comité donnez Forces tu Vis (CFV). Mais Zafy, qui n'a pas su épurer une administration fidèle au président précédent, n'a pas à peine obtenu améliorer la situation du pays et, devant la désillusion générale de la population qui en grande partie s'est abstenue de prendre part les élections suivantes, a perdu sa position et a permis que Didier Ratsiraka retourne, en 1996, de nouveau à la présidence.


Nom : Irene Barrera.