Le Marquez de Sade

Le Marquez de Sade

Donatien Alphonse François

Auteur français.

Il est né le 2 de juin de 1740 à Paris dans une famille de l'ancienne nobleza provençale, liée à la branche plus petite de la maison de Bourbon. Il entame son éducation dans le monastère bénédictin de Saint-Léger d'Ebreuil et postérieurement dans le collège Jésuite d'Harcourt de Paris, où un prêtre et un oncle le sien, l'abbé Jacques-François de Sade, sera son tuteur. Avec dix années il est observateur des orgías continues que celui-ci tient dans son château de Saumane. Il a versé dans l'école de Cavalerie de la Garde Réelle et a pris part la guerre des Sept Années avec l'Armée française. Quand compte vingt-trois années, abandonnera l'armée et contracter mariage « par convenance » avec Renée Pélagie Cordier de Launay de Montreuil, la fille de nouveau d'un riche, de Paris. Sa belle-mère, la Madame de Montreuil, sera dorénavant son pire ennemi. Son conjoint l'a accompagné dans ses fuites fréquentes de la loi, en l'écrivant et en visitant lui fréquentement dans les différentes prisons dans lesquelles il a été recluide. Sa première détention par l'infraction d'actes de perversión sexuel dans une femme, blasphèmes et profanation de l'image de Jésus-Christ, se produit seulement quatre mois après son mariage, et est exilée, par sa condition de noble, aux terres qu'a sa famille dans elle. Il se transforme postérieurement en client assidu de de ce qui est prostíbulos de Madame Brissault et de Mme. Hecquet, et des théâtres de grand Paris, où il est fourni d'amants successifs : la Dorville jeune ; la petite Le Roy danzarina de l'Académie royale de Musique ; et jeunes comiques du Théâtre italien: Mademoiselle Colet et d'autres. Dans 1772, plusieurs prostitutes l'accusent de les avoir fustigées, et sodomisé. Dans le jugement lui on condamne à décès, et à auquel son corps est brûlé et ses cendres dispersées au vent. A alors échappé à l'Italie accompagné de son beau-frère, Mademoiselle Anne-Prospère de Launay, abbesse d'un couvent. Par influence de leur belle-mère ils sont saisis et sont emprisonnés dans la forteresse de Miolans, dont il s'enfuit. Dans beaucoup de ses documents, comme Justina ou ce qui est infortunios de la vertu (1791), Juliette ou les prospérités du vice (1796), les cent vingt jours de Sodoma (publiée posthumement) et la philosophie dans la coiffeuse (1795), décrit en détail ses diverses pratiques sexuelles. Ainsi, le terme sadismo est employé en psychiatrie pour désigner le type de neurosis qu'il consiste à obtenir satisfaire sexuel en infligiendo douleur à d'autres. Sa philosophie considère naturel tant les actes criminels comme les déviations sexuelles. Ses oeuvres ont été qualifiées de d'obscènes et jusqu'à bien entré le siècle XX a été interdite sa publication.Emprisonné en Vincennes. il est passé six années dans cette prison, il a été ensuite transféré à la Bastilla et dans 1789 à l'hôpital psychiatrique de Charenton. A abandonné l'hôpital dans 1790 mais a été arrêtée une autre fois dans 1801. Il a rodé de prison en prison et dans 1803 il a versé une autre fois en Charenton, où il est mort dans 1814. A demandé d'être anonymement enterré dans la forêt pour que " ; tous les vestiges de ma tombe disparaîtraient de la face de la terre, et ils espère que tout vestige de ma mémoire est effacé de la mémoire du homme." ; Pendant presque deux siècles, des savants, critiques et artistes congénères ont cherché dans la tombe de Sade, dans un effort pour consolider une image définitive de l'homme. Quelques penseurs le considèrent comme un génie margé ; un professeur emérito du Mal. Les Surréalistes ont adopté à Sade comme leur saint patron, en le citant comme " l'être plus libre qu'il y a jamais viveé".


Marqués de Sade

Donatien Alphonse François

Escritor francés

Nació el 2 de junio de 1740 en París en una familia de la antigua nobleza provenzal, vinculada a la rama menor de la casa de Borbón. Inicia su educación en el monasterio benedictino de Saint-Léger d’Ebreuil y posteriormente en el colegio Jesuita d’Harcourt de París, en donde un sacerdote y tío suyo, el abad Jacques-Franois de Sade, será su tutor. Con diez años es observador de las contínuas orgías que éste celebra en su castillo de Saumane. Ingresó en la escuela de Caballería de la Guardia Real y participó en la guerra de los Siete Años con el Ejército francés. Cuando cuenta veintitrés años, abandona el ejército y contrae matrimonio “por conveniencia” con Renée Pélagie Cordier de Launay de Montreuil, la hija de un nuevo rico, de París. Su suegra, la señora de Montreuil, será a partir de ahora su peor enemiga. Su esposa lo acompañó en sus frecuentes huidas de la ley, escribiéndole y visitándole frecuentemente en las diferentes cárceles en las que estuvo recluido.

Su primera detención por el delito de actos de perversión sexual en una mujer, blasfemias y profanación de la imagen de Jesucristo, se produce tan sólo cuatro meses después de su boda, y es desterrado, por su condición de noble, a las tierras que tiene su familia en la Provenza. Posteriormente se convierte en cliente asíduo de los prostíbulos de Madame Brissault y de Mme. Hecquet, y de los teatros del gran París, en los cuales se provee de sucesivas amantes: la jeune Dorville; la petite Le Roy danzarina de la Academia Real de Música; y jóvenes cómicas del Teatro Italiano: Mademoiselle Colet y otras. En 1772, varias prostitutas lo acusan de haberlas fustigado, y sodomizado. En el juicio se le condena a muerte, y a que su cuerpo sea quemado y sus cenizas esparcidas al viento. Escapó entonces a Italia acompañado de su cuñada, Mademoiselle Anne-Prospère de Launay, abadesa de un convento. Por influencia de su suegra son apresados y encarcelados en la fortaleza de Miolans, de la que se fuga. En muchos de sus escritos, como Justina o los infortunios de la virtud (1791), Juliette o las prosperidades del vicio (1796), Los ciento veinte días de Sodoma (publicada póstumamente) y La filosofía en el tocador (1795), describe con detalle sus diversas prácticas sexuales. Así, el término sadismo se emplea en psiquiatría para designar el tipo de neurosis que consiste en obtener placer sexual infligiendo dolor a otros. Su filosofía considera naturales tanto los actos criminales como las desviaciones sexuales. Sus obras fueron calificadas de obscenas y hasta bien entrado el siglo XX estuvo prohibida su publicación. Encarcelado en Vincennes. pasó seis años en esta prisión, después se le trasladó a la Bastilla y en 1789 al hospital psiquiátrico de Charenton. Abandonó el hospital en 1790 pero fue detenido otra vez en 1801. Rodó de prisión en prisión y en 1803 ingresó otra vez en Charenton, donde murió en 1814. Pidió ser enterrado anónimamente en el bosque para que "todos los vestigios de mi tumba desaparecieran de la faz de la tierra, así como también espero que todo vestigio de mi memoria sea borrado de la memoria del hombre." Durante casi dos siglos, eruditos, críticos y artistas congéneres han hurgado en la tumba de Sade, en un esfuerzo por consolidar un retrato definitivo del hombre. Algunos pensadores lo consideran como un genio marginado; un profesor emérito del Mal. Los Surrealistas adoptaron a Sade como su santo patrono, al citarlo como "el ente más libre que jamás haya vivido".

Luis Domingo Tineo Acosta